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SOMMAIRE :
ntroduction : Regards sur l’homme en développement
Première partie : Théorie et méthodes
I – Les théories classiques du développement : Les pères fondateurs, Piaget, Freud, Wallon – Lev S. Vygotski, une pensée méconnue – La perspective béhavioriste et le développement
II – L’évolution des points de vue : L’ère postpiagétienne – L’ère postfreudienne – Les théories du vieillissement
III – Les méthodes d’étude du développement : Approche longitudinale et approche transversale – L’observation – Les tests – La méthode clinique – La méthodes expérimentale – Les techniques spécialisées d’étude du bébé – L’informatique, instrumentation et simulation – Méthodes et déontologie
Seconde partie : Les étapes du développement
IV – L’embryogenèse et le bébé de zéro à deux ans : L’ancrage phylogénétique – L’embryogenèse et la naissance – Le développement sensori-moteur et l’intelligence préverbale – L’émergence du langage – Le développement affectif – Le bébé cognitif, affectif et social selon H. Wallon – Le bébé et les structures de la société – L’incroyable Monsieur bébé, mythe ou réalité ?
V – L’enfant : La croissance physique – Le développement cognitif – Le développement social – Le développement affectif – L’enfant et les structures de la société – L’enfance plage tranquille
VI – L’adolescent : La puberté physiologique – La « puberté cognitive » – La « puberté sociale et affective » – L’adolescent et les structures de la société
VII – L’adulte et la personne âgée : Les transformations intellectuelles avec l’âge – Les expériences affectives et sociales de l’adulte – Les modifications affectives et sociales chez la personne âgée – Il n’y a pas UN vieillissement
Conclusion – Bibliographie – Index

Introduction
Jean Piaget
La nouvelle psychologie de l’enfant

Chapitre premier. — Le développement neurocognitif
Nombre de gènes et variabilité
Le darwinisme « neuronal-mental »
Neuroscience cognitive développementale et imagerie cérébrale

Chapitre II. — La construction de l’objet
La permanence de l’objet
La cognition physique

Chapitre III. — Le nombre et la catégorisation
Le nombre
La catégorisation

Chapitre IV. — Le raisonnement logique
Logique et pensée
Logique et cerveau
D’autres formes de raisonnement

Chapitre V. — L’enfant psychologue
Ce que l’enfant dit de la pensée
Les théories de l’esprit

Conclusion

Bibliographie générale

Première partie - Considérations générales
1 - La place de l'aide psychologique
2 - Points de vue anciens et point de vue nouveau dans l'entretien d'aide en psychothérapie

Deuxième partie - Problèmes initiaux rencontrés par l'aidant
3 - Quand l'aide psychologique est-elle indiquée ?
4 - La création de la relation d'aide
5 - Approche directive et approche non-directive

Troisième partie - La méthode de la relation d'aide
6 - Liberté d'expression
7 - L'avènement de la nouvelle perception de soi
8 - Les phases finales

DESSINE MOI UN PROJET
1 - UN CONCEPT VAGABOND MAIS ATTRACTIF
2 - HISTORIQUE D'UNE PREOCCUPATION
3 - TAXONOMIE DES DIFFERENTS PROJETS : DES PROJETS INDIVIDUELS AUX PROJETS COLLECTIFS
4 - LES COORDONNEES TEMPORELLES DU PROJET
5 - LES COORDONNEES SPATIALES DU PROJET
6 - ELEMENTS METHODOLOGIQUES D'ELABORATION ET DE REALISATION DES PROJETS
7 - EVALUATION DES PROJETS
8 - PATHOLOGIE DES CONDUITES A PROJET
CONCLUSION : DES CONDUITES A PROJET AUX CULTURES A PROJET

1-Facteurs généraux de la communication
PARTIE 1 - LA COMMUNICATION INTERINDIVIDUELLE
2- Attitudes et communication interindividuelle ; L'approche non directive
3- Les techniques de recueil d'information en situation interindividuelle
4- La dimension non verbale de la communication
PARTIE 2 - LA COMMUNICATION DANS LES GROUPES
5- Communication et processus de groupe
6- Techniques de groupe
7- Observation et recueil des processus de groupe
PARTIE 3 - APPROCHES EXPERIMENTALES DES PHENOMENES DE GROUPES
8- Communication et influence sociale
9- Structure de groupe, communication et performance des groupes

« Face à la perte, à l’adversité, à la souffrance que nous rencontrons tous un jour ou l’autre au cours de notre vie, plusieurs stratégies sont possibles : soit s’abandonner à la souffrance et faire une carrière de victime, soit faire quelque chose de sa souffrance pour la transcender.

La résilience n’est pas du tout une histoire de réussite, c’est l’histoire de la bagarre d’un enfant poussé vers la mort qui invente une stratégie de retour à la vie ; ce n’est pas l’échec qui est donné dès le début du film, c’est le devenir imprévisible, aux solutions surprenantes et souvent romanesques.

La fabrication d’un récit de soi remplit le vide de nos origines qui troublait notre identité. On bricole une image, on donne cohérence aux événements, on répare une injuste blessure. Un récit n’est pas le retour au passé, c’est une réconciliation. » B. C.